La personne de confiance, bonne idée ou mesure inapplicable ?
22.10.2013
Nommer par anticipation, dans le cas où nous deviendrions incapables d’exprimer notre volonté, une personne de confiance susceptible de porter notre parole au sein d’une situation médicale complexe, paraît une bonne idée. Mais cette mesure, inscrite dans la loi, peine à trouver application. Quelles sont les difficultés rencontrées et les raisons de ce relatif échec? ----- Dr Christian TANNIER Neurologue, président du comité d’éthique du centre hospitalier de Carcassonne.