Alzheimer ou le pari des capacités
30.7.2014
Dans la maladie d’Alzheimer, parier sur les capacités plus que sur les déficits, sur les possibles plus que sur les failles, ne guérit pas le malade. Mais cette approche évite de le disqualifier et modifie la relation soignante dans le sens de la préservation de l’autonomie, dût-elle être accompagnée.---- Christian Tannier Médecin neurologue, docteur en philosophie, président du comité d’éthique du centre hospitalier de Carcassonne. ----- Christian Tannier Médecin neurologue, docteur en philosophie, président du comité d’éthique du centre hospitalier de Carcassonne