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Médicalisation de la GDR et accréditation des disciplines à risque Un mariage de raison ?
14.10.2010
Dr Sylvia BENZAKEN, Vice-présidente de la CME, CHU de Nice, Conférence des présidents de CME de CHUBien que le dispositif existe depuis plusieurs années, l’accréditation, méthode fondée sur le signalement volontaire par les médecins, l’analyse et la prévention d’événements porteurs de risque (EPR) ou presque accidents, est encore peu déployée dans les établissements de santé publics. La démarche d’accréditation des disciplines à risque bénéficie toutefois d’un intérêt grandissant, à la faveur de la loi HPST. Mais réussir la construction d’une gestion des risques « médicalisée » suppose un certain nombre de préalables : élaboration d’un dialogue entre les organismes agréés et les établissements, inscription dans la formation initiale et continue, protection des bases de données…, préalables dans lesquels la CME a un rôle majeur à jouer.
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Sommaire du numéro
- > Éditorial n° 536
- > Actualités
- > Faut-il accréditer les spécialités à risque ?
- > Accréditation des praticiens : Pour une cohérence et mise en perspective des objectifs
- > Accréditation des praticiens Le point de vue de SHAM
- > Médicalisation de la GDR et accréditation des disciplines à risque Un mariage de raison ?
- > De l’accréditation individuelle à une accréditation d’équipe
- > Accréditation des praticiens Un nouveau paradigme d’organisation, de fonctionnement et d’enseignement des spécialités à risque
- > Sur le web
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